Une ligne, 2013
peinture, 7 abris bus, Finistère sud
Dans plus en plus de villages de Bretagne un nouveau type de population apparait. Des gens voulant acquérir des résidences secondaires le long des côtes.
Une rupture s’est créée entre les natifs de ces villages et les nouveaux arrivant. Les gens préfèrent s’ignorer que de se parler. L’hiver il y a peu de monde, les infrastructures misent en place pour les transports en commun tendent donc à disparaitre.
Une touche picturale isolée et anecdotique pourrait être une solution. Réalisé la nuit elle n’apparaît qu’au levé du soleil. Elle amène les gens à se parler, pour trouver qui détériore leurs infrastructures publique. Cela deviendrai alors une peinture vecteur de la parole.
Cette action est répétée dans plusieurs villages, touchés par la même situation démographique.