À l'image du regretté Vaughan Oliver, qui déclarait : "le magasin de disques local était pour moi une galerie d'art", mes premières interactions avec le design graphique passait par le biais des pochettes d'album, designées par les idoles de mon adolescence (à savoir Peter Saville, Mark Farrow, Raymond Pettibon, Ian Anderson ou encore le susnommé Vaughan Oliver, pour ne citer qu'eux).
C'est en tombant par hasard sur le Zang Tumb Tumb de Filippo Tommaso Marinetti dans la bibliothèque universitaire de Rennes 2 que je décidais de me lancer entièrement dans des études de graphisme, après des présences passagères dans les rangs de la fac en lettres modernes.
Coincé entre le Less is more et le Less is a bore, ma pratique évolue dans les interstices de genres, de styles et de médiums différents à l'image du cinéma, de la télévision, de la musique, dex la littérature et du jeux-vidéo. C’est cette oscillation constante qui me permet de ne pas rester sous un dogme quelconque et d’ouvrir de nouvelles perspectives à mon travail et à ma reflexion.
Like the late Vaughan Oliver, who declared: "the local record store was for me an art gallery", my first interactions with graphic design were through album covers, designed by the idols of my adolescence (namely Peter Saville, Mark Farrow, Raymond Pettibon, Ian Anderson or the aforementioned Vaughan Oliver, just to name a few).
It was when I stumbled upon Filippo Tommaso Marinetti's Zang Tumb Tumb in the university library of Rennes 2 that I decided to fully embark on graphic design studies, after a few short stints in the ranks of the university in modern literature.
Stuck between the Less is more and the Less is a bore, my practice evolves in the interstices of genres, styles and different mediums like cinema, television, music, literature and video games. It is this constant oscillation that allows me not to remain under any dogma and to open new perspectives to my work and my reflection.