écriture in situ, musée des beaux arts de Rennes, janvier 2019.
Carte blanche pour écrire tout ce qui me passait par la tête durant vingt-et-un jours. Ce qui est intéressant dans l’acte d’écrire tous les jours sur un vrai mur, c’est le lectorat qui est totalement aléatoire et inédit. Il me semble qu’écrire pour un espace public touche plus que d’écrire pour soi.
J’ai littéralement pris le mur pour une feuille de papier. Un peu comme un journal pas intime (il s’agit plus ici d’un journal de bord) ouvert à tous le monde et dans un espace public : le musée.