A l'origine il y a eu la ruine, 2015
Installation sonore - 492 x 698 cm - plâtre, dispositif sonore
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
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A l'origine il y a eu la ruine, 492 x698 cm, Installation (plâtre, dispositif sonore, pistes mp3: 13mn20) état "il y a eu la ruine"
A l'origine il y a eu la ruine, 2015 - 492 x 698 cm - Installation (plâtre - dispositif sonore )
L’oeuvre est constituée de 368 plaques de plâtre, chacune réalisée manuellement. Elle forme un carrelage de plâtre, détruit petit à petit par les visiteurs marchant dessus dès l’ouverture de l’exposition. En ce faisant, ceux ci produisent des sons de craquements qui rentrent en communication avec le son même de la pièce.
La partie sonore de la pièce est constituée de deux pistes sonores différentes, diffusées simultanément à deux endroits de la salle. Elles créent ainsi un univers sonore immersif. La composition sonore à l’écoute a été réalisé à l’aide de différentes plaques de matériaux (béton, siporex, mortier..) dont les plaques constituant la sculpture.
L’ensemble propose une réflexion sur la matérialité de la ville de Riesi en Sicile.
Riesi, Sicile, octobre 2014.
Je voulais rentrer dans les maisons vides, mais la seule agence immobilière, ne s’occupe que des maisons habitables…
On voit beaucoup de panneaux « Vendesi » (à vendre) mais 3 fois sur 4 il n’y a pas de numéro à joindre.
Alors j’ai regardé les murs, les pierres. Il y a une espèce de confusion entre les maisons qui tombent en ruines, car elles ont cessé d’être habitées, et celle qui sont inhabitées car elles n’ont jamais été finies.
Les briques, les pierres, les mortiers sont apparents, la peinture s’en va, ou elle n’a jamais était faite. Il y a un cycle qui se crée, on voit d’où partent les choses, et où elles finissent, un tas de pierre.
Le sol aussi c’est sec. Des cailloux. On sent d’où viennent les pierres des maisons.
Je n’ai pas vu une ville morte, j’ai vu des pierres bruyantes.
A l’origine il y a la ruine (Originally it was a ruine), 2015 - 492 x 698 cm - Installation ( plaster - sound system )
The work consists of 368 plasterboards, that I cast myself, which together form a plaster tiles. From the opening day of the exhibition, it starts to be destroy piece by piece by visitors walking on it. In so doing, the breaking creates some cracking sound which comes into contact with the sound of the piece itself.
The sound piece of the work is composed of two different soundtracks, played simultaneously at two corners of the room, thus creating an immersive sound environment. The sound composition had been made with records of friction actions on different construction materials, such as concrete, Siporex panels, dry mortar… including the plasterboard used for the floor installation.
The ensemble explores the identity and materiality of the city of Riesi in Sicily.
Riesi, Sicily, october 2014,
My interest in the city of Riesi came from the viewing of a documentary of Arte Channel. It was a series about the cities in decay, and Riesi was supposed to be famous for her many empty houses, then my personal curiosity and the lack of informations about this city pushed me to go there myself. Once there I wanted to visit those empty houses, which was not so easy despite local help. So I looked at the facade, the wall, the stones. There is a great confusion between the houses who are falling into ruin and those which are never been inhabited because the construction never reached an ending. The brick, the stones, the mortar piece are visible, the layer of painting goes aways, or was never done. A cycle appears, man can see from where come things and where they end, a pile of rocks. Pebbles. Man feels the origine of the houses’ stones. I didn’t sea a dead town, I saw some laud stones.