Les pièces proposées sont inspirées par la lecture de « L’homme qui plantait des arbres » de Jean Giono, l’histoire d’un berger qui plante des glands dans un territoire de steppe.
Des propositions virtuelles de planter un arbre pour nous existent mais elles ôtent la magie de le faire soi-même.
Les minus sont des stations de germinations qui permettent la contemplation d’un spectacle du vivant:
la mutation d’une graine en arbre.
Ce sont des outils saisonniers, des capsules poétiques ou des outils pédagogiques. Il s’agit d’une invitation, comme dans le livre, à planter des arbres au printemps.
Verre borosilicate (Claude Calvarin) et laiton, 2017.