Figures travaillées informatiquement, évocation de l’idée d’une société photoshopée où la “beauté” (ou l’image qu’on veut nous en imposer) est à portée de clicks (image de mode, de presse etc...).
Ces portraits anonymes, se proposent comme des captures d’écrans d’une société fictive légèrement futuriste, dans laquelle on pourrait aller changer de visages dans des photomatons.